ogives sans gorge de sertissage

Bonjour,

En me renseignant sur le sertissage, je suis tombé sur ce post richement illustré et argumenté.

https://www.tircollection.com/t13539-le-sertissage-une-facon-de-le-voir

En espérant que celà puisse éclairer d'autres rechargeurs comme celà a pu m'instruire.

Cordialement

Cette petite vidéo concernant le sertissage me laisse dubitatif...

https://youtu.be/wnZWv38cNKw

Si vous souhaitez réagir, je suis intéressé.

bien malin celui qui peut expliquer le sertissage.
le mieux c'est de faire des essais sur différends types et
de choisir celui qui correspond le mieux à son arme.

Et " l'interdiction" de réaliser un sertissage roulé ou conique sur une ogive dépourvue de gorge de sertissage pour le .223 ?

Il en est clairement fait mention dans l'ouvrage ci-dessus

Erreur de ma part

la suite vient de paraître dans un deuxième livre sur le rechargement

Ping a écrit:

Et " l'interdiction" de réaliser un sertissage roulé ou conique sur une ogive dépourvue de gorge de sertissage pour le .223 ?

Il en est clairement fait mention dans l'ouvrage ci-dessus

Sertissage taper crimp

Tu as entièrement raison, j'ai relu le passage concerné.

Seul le sertissage roulé est " interdit ".

le Lee Factory crimp est excellent aussi.
le taper crimp je l'utilise pour les cartouches qui chambrent sur
les lèvres de l'étui.

Sous peu je vais recharger des 38.

Je dois choisir des têtes et surtout un poids.



Ensuite la charge

Pour finir, pour le sertissage , quels sont les critères pour le choisir?

TeddyBear a écrit:

En 38 special ou 357 magnum, j’utilise aussi bien des ogives avec que sans gorge de sertissage. Mais sans gorge de sertissage ce sont pour des charges légères ou ’modérées’, avec poudres moyennement vive, car lorsque je fais de ’vraies’ magnum avec de ’grosses’ doses de poudres lentes, j’utilise uniquement des ogives FMJ avec gorge de sertissage et sertissage énergique adhoc... mais d’autres membres du forum auront sans doute des recettes différentes...

Ce serait dommage que quiconque vous contredise : le sertissage a pour destination première de libérer la balle "le plus tard possible' afin de maximiser la combustion des poudres les moins vives pour un calibre donné. Tel ou tel calibre, tiré avec sertissage, peut laisser une situation sans imbrûlés alors que des éléments de poudre imbrûlés apparaissent sans ce sertissage.

Edit : je n'avais pas vu ceci ... qui est -remarquable https://www.tircollection.com/t13539-le-sertissage-une-facon-de-le-voir .
Cette merveilleuse contribution n'évoque pas un sertissage que je crois n' être qu'industriel : le sertissage à hauteur du  corps de la balle - pour certaines douilles droites - comme le faisait la FN quand elle commercialisait ses très précises .38 Wad Cutter.  
La balle était ainsi maintenue à huit millimètres des lèvres de la douille , O tempores ...